Le problème de l’immigration vidé de son sens et transformé en conte puéril. Entre maladresse et ridicule, on cherche toujours à savoir où voulait aller Costa-Gravas. Ca commençait pourtant très bien : des clandestins qui jettent leurs papiers à l’eau,...
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Drôle de film pour drôle d’impression. Un sujet palpitant, des acteurs convainquant, mais que c’est long… La fin du monde approche. Pas de panique, on profite des derniers instants, et on se fout à poil. C’est réducteur, mais quelqu’un qui suivrait Les...
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Dépressive divorcée, voici l’histoire de famille banale de Léna façon cinéma français. Relevé par le talent du réalisateur des Chansons d’amour et de beaux acteurs. Pas si mal. Ah, un peu de parisianisme. Stop aux grosses productions, retour au film d’auteur...
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L’attente depuis De battre, mon cœur s’est arrêté fut longue, mais Jacques Audiard revient ! Il livre un véritable monument de cinéma d’auteur : dense, profond, précis. Avec en prime des acteurs flamboyants de noirceur. Injustement critiqué depuis ses...
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Bonjour à toutes et à tous, comme je le signalais sur le post précédent, voici le palmarès interblog du mois d’août 2009. Je vous (ré)explique le principe. Le journal de Vance, excellent blog ciné, a eu l’idée de monter un tel classement afin de révéler...
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Comme vous pouvez le constater, ce blog vient de subir quelques modifications. Des changements sur la forme et en partie sur le fond. C’est en me nourrissant de diverses critiques (certains doivent se reconnaître) que j’ai décidé de faire évoluer la structure...
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Histoire mièvre de vampires, le nouveau phénomène ado rate le coche. Il y avait pourtant possibilité de faire mieux. On commence sur une vision fantastique, un gentil faon attrapé par une ombre à l’aube d’un bois. Puis très vite, l’adaptation du roman...
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Tiré d’un court-métrage primé aux oscars, Numéro 9 arrive en version 1h20. Très beau, pointilleux, le film pêche en revanche par un scénario étiré en longueur. Shane Acker avait déjà réalisé un court-métrage mettant en scène le personnage de numéro 9....
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Tarantino revient à grands coups de batte de baseball et de scalps de nazis. Un subtil mélange de barbarie générale inhumaine et de références cinématographiques léchées. Une œuvre germanophile et anti-barbarie. Bien sûr, on retient avant tout le délire...
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Qu'ils viennent de sortir en salles ou qu'ils fassent partie de la légende, tous les films risquent un jour de passer à la moulinette de l'incorruptible critique de ce blog.